Mourir l’amour?
Consumer le silence,
Ne pas crier, ce feu brule mes entrailles.
Pourquoi ne suis-je pas comme les autres hommes.
Pourquoi ai-je toujours cette insouciance propre à la jeunesse,
Moi qui ne suis plus si jeune.
Quel est donc ce guignol
Qui s’agite entre mes jambes au passage d’un jupon ?
Pourquoi, pour moi, un beau cul...
Vaudra toujours plus que toutes les bibliothèques du monde.
Putain, c’est dur…(et il se plaint )
L’hiver arrive qui couvre de blancs mes cheveux,
Enfin, ceux qui restent…
Une antichambre froide ?
J’envoie encore le bois, ma chaudière ronronne.
Pourtant, j’attends toujours avec ferveur
Ce printemps qui viendra, peut être,
M’épargner un dernier hiver.
Bises les filles.