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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 02:48
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30 janvier 2009 5 30 /01 /janvier /2009 00:52
Dans l'Est républicain un article fait état d'un projet visant à rendre aux familles les corps de 80.000 soldats tombés à Verdun en 1916 au cours d'une des plus grandes boucherie de la Grande Guerre.

L'important,c'est que les familles sachent où est tombé leur aïeul, et ça ils le savent, et même en connaissent les circonstances.

Il faut que leur histoire soit racontée aux sein de ces familles ainsi une part d'éternité leur est acquise.

On peut toujours aller se recueillir sur les lieux de leur calvaire. C'est très impressionnant et presque un siècle après la terre dévastée porte encore l'empreinte des formidables combats qui l'ont déchirée.

Et alors on comprend ce qui a animé les pères fondateurs de l'Union Européenne.

Laissez ces pauvres jeunes gens reposer en paix ensemble dans le sol qui les a vu souffrir

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14 janvier 2009 3 14 /01 /janvier /2009 16:34
 

Y en a d’autres, et des beaux, et même des belles.

La connerie a ses grands prêtres, ses ayatollahs, ses théoriciens, ses compagnons de route, ses missionnaires.

Elle a aussi ses grand-messes : la telerealite les meetings électoraux

C’est l’instinct grégaire qui poussent les cons à se rassembler.

Mais aussi une étincelle de lucidité qui les rend prosélites ;

plus on est de cons moins on Me voit..

Le problème avec les cons c'est d'abord l'enthousiasme puis la persévérance.

Il y a aussi l'autosatisfaction.

Par contre un gros avantage : c'est l'économie de vaseline, le con est autolubrifié... eh oui. !

 

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14 janvier 2009 3 14 /01 /janvier /2009 16:32

 

Avez-vous remarqué à quel point les choses qui nous entourent sont perverses, sournoises.

Nous sommes convaincus d’en avoir le control et la maîtrise. Que nenni ! Il n’en est rien.

Deux exemples facilement vérifiables :

Vous mettez une casserole de lait à chauffer. Tant que vous surveillez, c’est long, interminable. Une seconde d’inattention, c’est le drame : votre lait s’échappe et salope votre gazinière – Récurer du lait cramé : bonjour !

Autre chose. L’eau coule du robinet de l’évier. Vous jetez une cuillère dans celui-ci ; comment retombe - t - elle ? Du coté concave bien sûr. Et t’as de l’eau plein la cuisine.

Et je ne parlerai pas de la tartine qui tombe toujours le coté beurré dans la poussière, des clefs de bagnole qui se cachent, du stylo qui fuit dans la poche de chemise etc etc….


Objets innanimés avez - vous donc une âme ?…..

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14 janvier 2009 3 14 /01 /janvier /2009 16:27

 

Toujours plus hauts, toujours plus riches. Les grands bourgeois ont remplacé les nobles. La noblesse d’argent la noblesse de sang. Et voilà que Nicolas Sarkozy a introduit l’hérédité, réduit les droits de succession…etc.

Le sang bleu remplacé par le sang vert du dollard !

Merde alors ! Le Peuple aurait-il besoins d’idoles devant quoi se prosterner ?

200 ans plus tard, revient-on à l’ancien régime ?

Essayez d’imaginer, par rapport à votre salaire, ce que représente aujourd’hui (petit exemple) ce que Forgeât va toucher.

Alors vous comprendrez comment Chambord, Blois, Cheverny, Azay le rideau, Chenonceau, Anet, Amboise, Uzès…… que l’on admire aujourd’hui ont été construits avec le sang d ‘un peuple qui vivait dans la précarité, la peur du lendemain, la faim au ventre, des chaumières délabrées, mais qui malgré tout nous a enfanté pour qu’un jour plus favorable, on leur foutte au cul !

Et les Français, pauvres héritiers de tous ces espoirs, ont porter à la tête de l’état, un écervelé qui imbu de sa personne est prêt à toutes les compromissions pour sa gloire personnelle, engloutissant, toutes ces luttes, ces sacrifices de nos pères,


La vie est un éternel recommencement, la littérature aussi.

Les Ténardiers du PS (Ségo Hollande) veulent exploiter Cosette (Notre belle République : (Marianne)

Arturo Hui (Sarko) veut instrumentaliser une dictature policière basée sur la supériorité des élites par rapport aux pauvres clampins génétiquement programmés que nous serrions.

Les petits marquis (les journaleux), Tartuffes modernes se répandent en courbettes.

Au secours Molière ils sont devenus creux.

La classe ouvrière n’ira pas au Paradis.

Les salauds n’iront pas en Enfer, mais à l’Elysée.

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14 janvier 2009 3 14 /01 /janvier /2009 16:25

 

J’ai un pote, Bob, il a acheté des sex-toys à sa femme,

Qu'est que c’te connerie ? J’ui ai d’mandé.

C’est des trucs supers pour les dames jouer, avec ça elles t’emmerdent plus pour qu’tu les régales le soir, elles s’démerdent toutes seules, et toi tu peux r’garder la télé tranquille.


Maintenant, il m’a dit, quand bobonne me gonfle, j’l'envoie jouer dans sa chambre, comme les mômes….. Peinard.

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14 janvier 2009 3 14 /01 /janvier /2009 16:22

 

 


Qu’elle angoisse ! Si, je faisais partie des baby boomers.

On me dit que les jeunes sont à plaindre parce qu’ils vont vivre dans un monde de vieux…Et moi alors.

Baby-boom = Papy Boom, là d’accord.

Mais papy boom = Mamy Boom.

Et mamy boom + Viagra + DHEA = Gross malheur.

Il va falloir leur faire l’amour jusqu'à quel age ?

T’auras toujours la crainte de confondre l’orgasme avec son dernier soupir.

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14 janvier 2009 3 14 /01 /janvier /2009 16:12

 

Aujourd’hui, morose.

J’ai entendu parler des retraites à la radio, et ça ma flanqué le cafard.

On disait que dans dix ou quinze ans, il n’y aurait plus qu’un actif pour un retraité, à cause de l’allongement de la durée de vie, et des baby boomers devenus des papy-boomers.

Les jeunes n’allaient pas s’marrer dans ce monde de vieux ! …

Et moi alors, au milieu de toutes ces vieilles ! …..


J’avais déjà repéré un banc magnifique, bien exposé, à l’ombre, à l’abris des courants d’air, bien placé dans un square à gamins, et qui dit gamins, dit jeunes mamans, baby – Sitter, petites robes et minijupes, un p’tit sourire de jeunesse de temps en temps ( va savoir une petite culotte à mater si ça se trouve de temps à autre.)

Ca paraît pas mais on pourra pas toujours voyager, il faudra bien se poser un jour. Et le choix du banc où on va finir c’est primordial, et comment! On risque d’y passer du temps.c’est pour ça que j’avais choisit le mien avec le plus grand soin.


Mais voilà, c’est foutu, toutes ces vielles, elles vont me le piquer mon banc ( vu que je suis de la vieille école, galanterie et tout et tout.) Et si par hasard il me reste un p’tit bout de banc, ça sera pour entendre parler médocs, douleurs, cancans.


Ha ! Oui, ce soir, morose.

 

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14 janvier 2009 3 14 /01 /janvier /2009 16:03

 

Gros con, petit con, grand con, pauvre con,sale con, vrai con, fau(x)con...?

Soyons précis ,du quel parle t'on .? Magie de l'argot français ce même mot désigne suivant son qualificatif des personnages si différents,

Il faut bien reconnaître que la Connerie est une valeur universelle, Je pense même que c'est ce qui différencie l'homme du reste du règne animal,

Les animaux n'ont pas de libre arbitre car ils sont mus par l'instinct,

La connerie est un inhibiteur du libre arbitre,

J'y vois aussi une idée de pénétration dans l'expression être pris pour un(des) con(s),Mais sans douleur car le con est auto-lubrifié,

Néanmoins comme Aragon celui que je préfère a des poils autour, ou plutôt avait, c'est celui d'Irène, de toutes les Irène même les connes d'ailleurs,

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8 janvier 2009 4 08 /01 /janvier /2009 20:36
 

"Que peut-il ? Tout. Qu'a-t-il fait ? Rien.
Avec cette pleine puissance,
en huit mois un homme de génie eût changé la face de la France ,
de l'Europe peut-être.
Seulement voilà, il a pris la France et n'en sait rien faire.
Dieu sait pourtant que le Président se démène :
il fait rage, il touche à tout, il court après les projets ; ne
pouvant créer, il décrète ; il cherche à donner le change sur sa nullité;
c'est le mouvement perpétuel ; mais, hélas ! cette roue tourne à vide.
L'homme qui, après sa prise du pouvoir a épousé une princesse
étrangère est un carriériste avantageux.
Il aime la gloriole, les paillettes, les grands mots, ce qui
sonne, ce qui brille, toutes les verroteries du pouvoir. Il a pour lui
l'argent,
l'agio, la banque, la Bourse , le coffre-fort. Il a des caprices,
il faut qu'il les satisfasse. Quand on mesure l'homme et qu'on le
trouve si petit et qu'ensuite on mesure le succès et qu'on le trouve énorme,
il est impossible que l'esprit n'éprouve pas quelque surprise. On y
ajoutera le cynisme car, la France , il la foule aux pieds, elle lui
rit au nez, lui la brave, la nie, l'insulte et la bafoue ! Triste spectacle
que celui du galop, à travers l'absurde, d'un homme médiocre échappé "



Victor HUGO, dans " Napoléon, le petit " à propos de Napoléon III

 

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